La naissance de Pioupiou, c’est fait. Le déménagement pour avoir plus de place, c’est fait. Le retour d’Internet, c’est fait aussi. La mise en place de la nouvelle routine, check (oui, je varie les formulations pour ne pas lasser le lecteur).

 

Qui dit nouvelle routine dit retour de l’écriture, et qui dit retour de l’écriture dit retour EN FORCE de l’écriture (et c’est le cas de le dire avec Rogue One qui vient de sortir. Ah ! Ah ! Ah ! Oui, mon humour est plus que jamais moisi, mais y’a longtemps que j’ai décidé que j’étais trop vieux pour changer cela. Et puis j’en ai pas envie, na !).

 

Malheureusement et comme chacun me connaissant bien le sait, cette frénésie écrituresque (oui, ça n’existe pas et oui, je m’en fous, je trouve ça joli) risque de ne pas durer des années, ni même des mois ou des semaines. C’est juste une question de quelques jours…

 

C’est pas grave, ça va me permettre quand même d’avancer un peu, concernant bien des histoires…

 

Dégoûté d’être privé de Net le mois dernier, je n’ai du coup pas participé au Nanowrimo. Mais je n’aurais de toute manière pas eu le temps, mise en place de la nouvelle routine oblige et autres choses en tête. Du coup je m’en tente un, informel, entre moi et moi, ce mois-ci, depuis le 2. Et donc jusqu’au 31. Oui, je n’ai jamais réussi à écrire 50 000 mots en un mois et oui, faut être taré pour le faire en décembre, avec Noël et le premier de l’An. Ça tombe plutôt bien, je suis taré, donc c’est typiquement le genre de défi fait sur mesure pour moi.

 

Ce faux nano ne concerne pas un manuscrit en particulier. L’idée est plutôt de reprendre et d’avancer, voire de conclure (soyons fou de le penser !) des trucs en cours, et y’en a un paquet.

 

Je bosse ainsi sur un feuilleton un peu polar, entamé il y a trois ans et demi et qui ne comprendra pourtant que trente pages. Oui, je suis une honte.

 

J’écris aussi un peu d’histoire locale de mon patelin : j’ai pondu une quinzaine de pages sur une fontaine inscrite aux monuments historiques, et en ai commencé d’autres sur une motte castrale que j’ai découvert grâce au cadastre (magie des archives !).

  

J’ai repris mon bâton de pèlerin pour donner une suite à mes « Chroniques d’un futur père », qui relatait des trucs de pendant la grossesse de madame. Forcément, maintenant que Pioupiou est né, naissent avec lui les « Chroniques d’un père », plus simplement, et si je parle d’un bâton de pèlerin, c’est que ça risque d’être un truc qui va me poursuivre toute la vie…

 

J’ai également repris ma partie d’une histoire à quatre mains Star Wars que je devais pondre depuis six mois. Un jour on arrivera au bout, ô oui un jour…

 

Bref avec tout ça, je suis déjà en retard sur le rythme parce qu’on ne se refait pas : pour ce soir, je suis censé atteindre les 28 900 mots, or pour l’instant, je n’en atteins que 9 400. On y croit ! Après tout, les vacances commencent, et ça ça peut être déterminant pour avancer !

 

Bisouilles !