Cirederf, bientôt deux ans : et oui, j’ai pondu mon premier chapitre de Cirederf Nomis le 31 janvier 2014.

    Comme d’habitude quand j’écris, il y a des périodes plus ou moins longues où je n’ai rien fait, mais dans l’ensemble, je suis plutôt satisfait de ma production comme de ma productivité.

    100 000 mots, ça commence à faire, sachant qu’à ce jour, le chapitre 75 est écrit. Bref, plus que vingt-quatre et je pourrais enfin apposer le mot « fin ». Oui, je compte finir le dernier quart pour la fin du mois.

    Autant pour finir l’histoire… que parce qu’elle commence à me lasser. Dur pour un spécialiste en dispersion tel que moi de rester plus ou moins ancré sur le même sujet pendant aussi longtemps.

    Qui plus est, j’ai réussi l’exploit de me disperser rien qu’avec cette histoire au sens où, en plus de la poster sur le forum SWU, je l’ai aussi mise sur mon propre forum, Galéir, ainsi que sur Facebook, mais cette fois-ci dans une version expurgée de toute référence à Star Wars, et dans le but de glaner un nouveau public.

    En fin de compte, les hordes de fans ne se sont pas précipités pour me suivre, et j’ai du coup perdu du temps plutôt qu’autre chose à essayer de diffuser cette histoire : ce temps-là, j’aurais pu l’investir dans l’écriture pour finir plus vite, et trouver un éditeur.

    Car c’est le but une fois fini : tout passer en version non-Star Wars et tâcher de trouver un éditeur.

    Certains se font remarquer sur le Net et sont publiés suite à cela. C’est la méthode que j’aurais tenté… en vain. Pas grave, il fallait tenter le coup quand même, histoire de ne pas avoir de regrets.

    J’ai également failli diffuser l’histoire sur le site de Wattpad, dont le concept a l’air intéressant, mais avec mes quatre-vingt-dix-neuf chapitres à terme, je n’ai plus envie de me dire chaque jour qu’il faut poster. C’est déjà assez compliqué pour moi de le faire au quotidien sur mon forum et sur FB : ça n’a beau être que du copier-coller, j’arrive certains jours à avoir la flemme de !

    Il est temps de passer à des choses beaucoup plus simples, d’aller droit au but : finir l’histoire, et la soumettre à l’édition. Ce qui sera d’autant mieux que c’est le but depuis le départ, et que je n’ai rien envoyé à l’édition l’an dernier. Dur de percer quand on ne propose rien… forcément !