Certes, j’ai un peu triché, les 53 premiers chapitres sont déjà écrits, en mode Star Wars. Mais encore faut-il les adapter en histoire science-fiction. Bon, à ce sujet et avec un mois de recul, le constat me plaît bien, à savoir que c’est l’enfance de l’art et que ça ne prend guère de temps.

 

Le deuxième point positif c’est qu’avoir balancé le truc sur FB en mode public m’oblige à tenir des délais qu’en temps normal je méprise, vu que j’ai tendance à vivre hors du temps. Et là encore, malgré quelques ratés de temps à autres, je tiens le rythme donc c’est très bien.

 

Il y a un troisième point positif. Vu que je poste un chapitre tous les trois jours et que j’en ai à ce jour cinquante-trois sous le coude, je suis assuré d’avoir de la matière pour un minimum de cinq mois. Donc niveau rythme, j’ai de la marge.

 

La seule inconnue, en fin de compte, c’est ce qui se passe passé ses cinquante-trois chapitres. Certes, j’ai une vague trame globale en tête, de quoi écrire chapitre après chapitre, tranquillou, et voir où l’histoire me porte… avant de tout recadrer vers la fin pour pondre un grand final explosif, comme toute histoire à suspense (euh…) qui se respecte. Là où le bât pourrait blesser, c’est évidemment dans l’écriture des désormais quarante-six derniers chapitres. Oui, car ces chapitres, il va falloir les écrire, ce qui fait que je vais devoir lutter contre ma nature intrinsèque de glandeur invétéré.

 

Moralité, il s’avère qu’après un mois, je suis plutôt pas mal dans le rythme : j’ai écrit cinq nouveaux chapitres en janvier. En continuant comme ça, la jonction devrait pouvoir se faire naturellement entre les deux versions, et ce vaste délire sera conclu avant la fin de l’année.

 

En attendant et forcément, ces temps-ci, je me lève Cirederf, je vis Cirederf, je mange Cirederf et je dors Cirederf. Et ça m’amuse plutôt pas mal. Pour ce qui est de l’immersion dans l’histoire, je suis au top !

 

À demain pour le chapitre 10 !