Tout un chacun connaît ou devrait connaître le merveilleux site (non, je ne suis pas membre du staff et non, je ne suis pas un lèche-bottes : juste un diplomate de haut vol, genre le Pingouin dans la série Gotham) Star Wars Universe (je vous mets pas le lien, je suis un feignant et Google est votre ami).

Bref. Sur ce site exista il y a plusieurs années un journal, la Tribune Galactique, journal partial écrit du point de vue de la République Galactique, pré-guerre des clones.

Puis tout naturellement, la Tribune Galactique laissa place à la Tribune Impériale sous le règne de Palpatine, avec son journalisme impartial d’État engagé, écrit sur un ton humoristico-cynico-satirico-cocorico-etc.

Plusieurs numéros sont sortis (cf quelque part sur le site SWU, débrouillez-vous pour trouver, je vais pas faire tout le taf à votre place, non plus !), à un rythme effréné (lol), par des journalistes amateurs consciencieux qui ont mis toutes leurs tripes dans leur prose (re-lol), afin d’écrire des chefs-d’œuvre chaque année sélectionnés pour le prix Pulitzer, le Goncourt, le prix de l’Académie Française et le Nobel de littérature (si tant est que ce dernier existe mais j’ai la flemme de vérifier. Oui, encore ma feignantise légendaire qui prend le dessus…) (re-re-lol)*

 

* Qu’on me pardonne tous ces « lol » à répétition, c’est juste pour attirer un lectorat de djeunes, de kikoos et autres imberbes muant à peine (enfin en tout cas les garçons, parce que si ça arrive aux filles, je sens que leurs parents vont leur devoir des explications…).

 

Bref, un jour où l’équipe rédactionnelle en place cessa son activité, l’auteur de ces lignes (moi, quoi, mais ça fait plus classe de le dire ainsi) fut sollicité pour intégrer la nouvelle équipe, il (toujours moi) dit oui, intéressé par de nouveaux projets en matière d’écriture.

C’est là qu’est né le pseudo de « Cirederf Nomis », pouf, comme ça, pour que l’auteur de ses lignes (vous voyez qui ?) puisse soigner son anonymat. Euh… non, rien.

 

En parallèle à ces articles que le monde entier lui ont enviés, l’auteur de ces lignes (toujours le même, et plus il/je utilise ce type d’expression, plus il/je a/ai l’impression d’être décidément un indécrottable égocentrique) a également participé au cadavre exquis mis en place en marge des numéros du journal, et qui consistait à écrire des histoires mettant en scène les journalistes eux-mêmes.

 

Ce projet finit lui aussi par être abandonné faute de participants, mais le ton trouvé par l’auteur de ces… OK, je me calme, lui/me plut/plus tellement qu’il/je décida/décidai de le lancer dans des aventures solo, l’idée ayant surgie un soir sur le tchat de SWU où le responsable de la Tribune Impériale traînait son mal-être de chef d’un projet maudit ignoré de tous et lu par personne (bisou, Yorkman).

Du coup, le roman « Cirederf Nomis » a vu le jour pour faire de la pub indirecte à la Tribune Impériale, et aussi et surtout pour que l’auteur/je puisse s’éclater.  

 

Au fur et à mesure de l’écriture, qui s’est avérée assez facile, les lignes de cet auteur de moi décidèrent qu’une fois fini, le roman serait expurgé de ses références Star Wars pour finalement donner un roman SF susceptible d’être proposé à l’édition. On ne sait jamais, sur un malentendu…

 

Et puis l’auteur, trop malin, s’étant rendu compte que FB pouvait être un gage de succès en matière de diffusion, de succès, de sectes montées en son nom, décida donc de créer une page FB éponyme, tant qu’à faire et tant qu’à laisser sa mégalomanie le guider une fois de plus.

 

Donc n’hésitez pas : likez, partagez, diffusez, montez des fan-clubs, dites-vous que c’est pour la bonne cause, et qu’une fois le succès acquis, vous aurez droit à l’estime et la reconnaissance éternelle de l’auteur devenu entretemps milliardaire (hors taxes). La preuve, il se fera un plaisir de vous envoyer une carte postale personnalisée du paradis fiscal dans lequel il aurait fait transférer toute son activité une fois l’inévitable succès survenu.

 

Le premier chapitre arrivera demain, au fait. C’est qu’à force de débiter des âneries, on en oublierait presque l’essentiel.