Bon, me voilà à nouveau dans le vif du sujet.

Le dernier chapitre que j’avais pondu avant de faire une pause était trop long, il s’y passait trop de choses, bref c’était confus plutôt qu’autre chose.

La solution que j’ai trouvé est évidente, même s’il m’aura fallu longtemps pour la trouver : scinder ce chapitre final en plusieurs parties, ce qui évite de se disperser dans tous les sens. Me voilà désormais avec vingt chapitres, corrigés et beta-lus (oui, ce verbe n’existe sans doute pas mais je l’aime bien, il est assez parlant). Plus que deux ou trois et j’aurai enfin terminé !

Quel est l’imbécile qui a pensé un jour qu’écrire un roman jeunesse, donc plus court qu’un roman traditionnel, serait moins long et plus facile ? J’en ai une petite idée, mais hors de question de m’auto-dénoncer !

Je ne vais pas tarder à me pencher sur l’après-texte, à savoir faire lire le mansucrit à un ami traducteur, histoire d’avoir l’avis de quelqu’un qui a un pied (pour ne pas dire les deux) dans le monde de l’édition, et commencer à recenser des maisons dont la ligne éditoriale pourrait correspondre au texte. Voilà qui est à mes yeux un signe évident de progrès, car c’est la première fois que je vais démarcher une maison d’édition pour tenter de publier un texte original. Un nouveau pas important sera donc bientôt franchi !