Seronn est une histoire écrite entre novembre 2007 et juillet 2008. Improvisation de A à Z, trame bancale, du coup. 9 276 mots en fin de compte.

C’est à partir du chapitre “Les chasseurs” que j’ai eu la fin de l’histoire en tête. Mais comme me l’avait fait remarquer mon frère Mickaël, la jonction, la manière de conclure l’histoire était assez brouillonne, du coup. Les raccords un peu abrupts. 

Du coup, j’ai décidé de revenir sur l’histoire, de la repenser afin d’en gommer certains aspects maladroits et retravailler les raccords, justement. En fin de compte, je vais donc me retrouver avec un plan en quatre parties et un texte que j’espère être plus équilibré. Il sera également plus long, mais sans doute pas assez pour former un roman (qui selon mes critères doit contenir 50 000 mots minimum). On verra. Quoi qu’il en soit, réécrire l’histoire pour la bonifier est le pas le plus important à faire. Ce que je ferai de ce texte après, en revanche…

Soit il sera assez conséquent pour être proposé à l’édition tel quel, soit… soit j’exploite une nouvelle idée, prolonggement de Seronn et de Pérégrinations. Pérégrinations met en scène Jemril, Vhondé et Seronn, ce dernier étant le fils du protagoniste de l’histoire éponyme. Il se pourrait donc que, sur le même principe, je mette en scène les parents de Jemril et Vhondé dans des histoires qui, avec Seronn, constitueraient une sorte de prologue, ou plutôt préquelle, à Pérégrinations.

Mais bon, je n’en suis pas encore là. Pour l’instant, objectif venir à bout de Seronn version 2, rebaptisé pour l’occasion La tentation divine