Nuit américaine.
Je vais n’importe où.
Mais il y a deux errances.
Celle du bruit et de la fureur, qu’il est si facile de rectifier.
Chemins apaisés de la contingence…
Et on ne voit qu’elle. Elle éclate tonitruante.
Et il y a l’autre.
Le cavalier perdu dans la forêt, qui l’écoute ?