L'infortune du vent.

Je facilite certaines choses. Il n’y aura aucune peine, tu verras. Ou seulement une petite, sourde et définitive. Elle fera sourire. Enfin, pas moi, mais plus tard. De l’autre côté.
Je donne les armes. Mettre quelques chances de mon côté. A tout hasard. Ou alors je sauve seulement la face. Finalement, je ne sais pas. Et surtout, je ne sais pas depuis quel moment.
Je vais gesticuler un peu maintenant, dans la tradition de l’ordinaire. M’appliquer. La besogne de la respiration. Ce n’est pas sans peine. Et c’est comme ça pour tout le monde.

Commentaires

1. Le mercredi 26 novembre 2008, 18:35 par Valérie

"Monologue de la tristesse" ...
"Capitale de la douleur" ...
"Un monde à refaire" ...
ou ...
... juste une page à tourner ... mon pouce peut vous aider ...