Tout oublié.

Le pou, terré en pou,
emplumé de bouquets jaillis des boues
affine l’art de la disparition,
fier et laid et affamé,
Narcisse enfin dans l’eau.
On ne sent pas le froid.

Commentaires

1. Le lundi 15 mars 2010, 22:46 par Raph

Tu es là.

2. Le mercredi 17 mars 2010, 11:31 par J.

Oui (toi aussi) et pour un certain temps, semble-t-il.

Je suis juste là, entre ça et ça. Des fois, au milieu de ça.

3. Le mercredi 17 mars 2010, 18:29 par Ignatius

Etre là ; exister tout simplement. C’est suffisant.

4. Le samedi 20 mars 2010, 12:25 par J.

Oui, c’est suffisant. La plupart du temps.