S'appuyer sur le vent
telle l’ancolie
dans les giboulées de mai
sur sa tige frêle
nous tenons debout portés
par les vents qui nous tourmentent
telle l’ancolie
dans les giboulées de mai
sur sa tige frêle
nous tenons debout portés
par les vents qui nous tourmentent
Commentaires
Il a tout d’un tanka, et pourtant il sonne tellement occidental ! Ce qui me fait dire ça, c’est qu’il est ne me paraît pas énigmatique… Je suis fan(e)