J’étais bien parti pour écrire quelque chose ce soir, mais le papier se déchire sous ma main trempée et après avoir allumé la machine, il m’est devenu physiquement impossible de rester assis dans cette pièce et de supporter plus longtemps ce ronronnement. Puisque de toute façon je ne pourrais pas dormir avant quatre heures du matin comme tous les soirs depuis une semaine autant glisser dans Lorient et se laisser happer par tous ces visages.