8-rili.jpg Le Parti socialiste a en effet développé une sorte d’aveuglément et de cécité, une sorte d’immunité à la critique, tant interne qu’externe, aussi pondérée soit-elle. Lui font défaut aujourd’hui les mécanismes qui lui permettraient de « dérailler », de sortir des rails de la logique néolibérale en se mettant à l’écoute de ses militants, du reste de la gauche, des mouvements sociaux et de la critique sociale - en se mettant à l’écoute de la réalité.


Jérome Vidal, Que faire du parti socialiste ?

Le n°8 de la Revue internationale des livres et des idées est sortie.