Le mail y met les formes, expliquant tout bonnement que c’est la taille du manuscrit qui pose problème, ne rentrant pas dans les normes minimales admises pour un roman. OK… même s’il aurait fallu le préciser dans les contraintes de soumission, je pense. Bien entendu qu’un roman compte 50 000 mots minimum, en temps normal. Mais ce n’est pas le cas en ce qui concerne les romans pour les plus petits.

Mais bon, ce n’est pas bien grave vu qu’avec le recul, j’avais moi-même décelé trop de défauts au texte pour qu’il soit retenu. Sur le mail de refus, il est précisé que mon manuscrit ne sera pas examiné car trop court, mais que je peux toujours demander plus de précisions si je le désire, ce qui reste sympathique sur le principe. Mais je m’en voudrais de demander une opinion “pro” sur quelque chose qui me semble décidément si peu abouti.

Moralité : le mois prochain, je m’attaque à la version 3 du manuscrit, qui sera revisité sur la forme comme sur le fond. L’intérêt de tout cela, c’est que j’ai une base de travail, un premier jet fini. Et ça, c’est déjà beaucoup…