Frédéric Simon-Le Hyaric

Blog d'écriture

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Mot-clé - Star Wars

Fil des billets

vendredi, janvier 6 2012

Tel'Ay Mi-Nag 2 : Rédeption, chapitre VI

Voilà les Skelors et Ver’Liu au centre d’une polémique qui embrase les milieux politiques de la République, tandis qu’en coulisse s’agitent les Archanges de Norkaï, Tchoo-Nachril et Tel’Ay, aux intérêts si divergents…

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mercredi, janvier 4 2012

Tel'Ay Mi-Nag 2 : Rédemption, chapitre V

Voici le chapitre V de Tel’Ay, avec au programme la planète des Skelors qui devient un enjeu galactique, Tel’Ay confronté à son défunt maître, et Tchoo-Nachril qui entre en action…

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dimanche, décembre 25 2011

Tel'Ay Mi-Nag 2 : Rédemption, chapitre III

Et voilà la suite, avec le commencement des choses sérieuses !

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jeudi, décembre 22 2011

Tel'Ay Mi-Nag 2 : Rédemption, chapitre II

On entre petit à petit dans le vif du sujet, avec l’apparition de nouveaux personnages, le retour de certains autres déjà présents dans le premier opus.

C’est un plaisir pour moi de redécouvrir cette histoire, dont je suis décidément satisfait : contrairement à Minos, dont chaque scène ne s’attachait qu’au héros éponyme (hormis une scènette), dans Tel’Ay 2 j’ai réussi à mettre en scène un certain nombre de personnages différents qui vont et viennent, se croisent, bref des intrigues parallèles.

Ceci dit, tout n’est pas encore au point : si on se penche attentivement sur la logique, notamment temporelle, on s’aperçoit vite qu’il y a un certain nombre d’incohérences. Mais c’est pas grave ! Pour un galop d’essai, c’est plutôt pas mal !

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mardi, décembre 20 2011

Tel'Ay Mi-Nag 2 : Rédemption, chapitre I

Allez, on entre dans le vif du sujet, avec la présentation de quelques-uns des personnages importants…

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mercredi, décembre 14 2011

Tel'Ay Mi-Nag 2 : Rédemption, présentation et prologue

Je ne le répèterai jamais assez : j’aime écrire de la fan-fic. En l’occurence, du Star Wars.

L’écrit que je mets en ligne, Tel’Ay 2, est très important à mes yeux, pour plusieurs raisons.

Déjà, c’est la suite de Tel’Ay, qui fut la toute première histoire, sous forme de novella, que j’ai écrite sur le forum SWU. Et de là, de belles amitiés sont nées…
Ensuite, Tel’Ay 2 est un roman, et c’est même le seul et unique que j’ai fini à ce jour. Forcément, ça compte ! Enfin, il a été commencé en mai 2007 et achevé en février 2010, ce qui me conforte assez sur deux choses : oui, je papillonne comme un sauvage. Mais oui, je termine toujours ce que je commence !

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mardi, novembre 22 2011

Les deux romans-photos Star Wars

Jusqu’à il y a peu de jours, j’avais un souci informatique qui faisait que les deux romans-photos Star Wars parodiques que j’ai faits, l’épisode II (terminé) et l’épisode I (en cours) n’étaient pas en ligne.

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mardi, octobre 11 2011

La parodie des Rogues [4 sur 4]

Suite et “fin” des Rogues. Entre guillemets car si le but initial était de tenir dans la durée jusqu’au Nouvel Ordre Jedi et au-delà, je me suis calmé face à l’ampleur de la tâche. En fait, ce texte comme d’autres de la même veine me donnent plutôt envie d’écrire un roman Star Wars sur le même ton… wait and see !

PS : du coup, j’adore le paradoxe du dernier paragraphe…

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vendredi, octobre 7 2011

La parodie des Rogues [3 sur 4]

Avant-dernier morceau de bravoure… ou non.

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mardi, octobre 4 2011

La mort de Mace Windu

Sue les forums Star Wars, il y a parfois des débats amusants. J’étais tombé un jour sur l’un d’entre eux, dont le sujet était “Mace Windu est-il réellement mort ?”. Vrai que dans le film, il se fait couper la main et tombe du xième étage d’un griffe-ciel, donc ça paraît improbable. Alors que d’un autre côté, c’est l’un des meilleurs Jedi de sa génération. Ça m’a donné l’idée de délirer sur ladite mort…

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lundi, octobre 3 2011

Soldat de l'empire

Une petite nouvelle Star Wars concernant l’endoctrinement militaire…

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vendredi, septembre 30 2011

Clair-obscur

Cette nouvelle a éré écrite dans le cadre d’un web-recueil mis en place par SWU, dont le thème était les batailles de Coruscant. En l’occurence, il s’agit des événements qui se déroulent 5 000 ans avant les films.

En l’occurence, j’en ai profité pour faire le lien avec ma trilogie (ou plutôt future trilogie vu qu’il me reste le troisième opus à écrire) de Tel’Ay Mi-Nag. J’ai ainsi mis en scène l’apparition du Gant de Vèntorqis, un artefact Sith.

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jeudi, septembre 29 2011

La livraison

Cette nouvelle a été écrite à quatre mains, avec Titi77, qui a depuis décidé d’abandonner l’écriture, hélas.

On l’a écrite pour un numéro d’Holocron - le feu webzine de SWU - qui n’est jamais sorti.

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jeudi, mai 24 2007

La dernière journée de Bail Organa

Poum poum poum. Allons-y pour un coup d’essai de ce truc…euh, que dis-je, blog tout beau tout neuf. P’têt même qu’il y aura des commentaires…dès que je saurais comment faire les liens idoines. Pour l’instant, la seule chose qui est sûre, c’est que les messages d’erreur vont se succéder, car je ne maîtrise pas grand-chose.

Sous le titre de cet article se cache…une fan-fiction Star Wars. Et bah oui, ce sont des choses qui arrivent ! Dans le contexte, disons que cette courte nouvelle s’inscrit dans le cadre d’un recueil proposé par le site SWU, et dont le thème est “La destruction d’Alderaan”. Ouais, je sais, c’est joyeux…et toutes les nouvelles que j’y ai lu sont tristes, déprimantes, sombres, lugubres (hein, quoi ? Je peux lâcher mon dico de synonymes ? Bon, OK). Enfin bref, je me devais de rectifier le tir en apportant un peu de gaieté dans le traitement de cette tragédie.

La dernière journée de Bail Organa

Bail Organa eut toute la peine de la galaxie à ouvrir les yeux, ce matin-là. Par la Force, il fallait vraiment qu’il se calme sur le brandy corellien ! Mais c’était d’autant moins facile que le sommelier du palais royal avait redécouvert récemment une pièce oubliée dans les caves, emplie de bouteilles millésimées. Un bonheur de tous les instants pour le palais (celui de la bouche, pas le château) ! Tandis que des chasseurs TIE et des ailes-X continuaient à se livrer un duel acharné dans son crâne, il mit les pieds dans ses mules et dérapa aussi sec. Il s’affala lourdement sur le parquet, une fois de plus trop ciré pendant son sommeil par des droïds de ménage redoutables.

Bail se releva péniblement, une sourde douleur lui vrillant le genou. Son médecin allait être content de savoir qu’il allait servir à autre chose qu’à lui délivrer un médicament contre la gueule de bois. Dans sa salle de bains royale, il eut un instant de panique en se retrouvant face à face avec un monstre hirsute. Il força les battements de son cœur à se calmer en se rendant compte qu’il ne s’agissait que de son reflet dans le miroir. Il s’aspergea le visage d’eau fraîche, du moins le crut-il. Mais quand il vit dans le miroir sa tête couverte de boue, il pesta contre les maudits plombiers du palais (le château, pas celui de la bouche), qui n’avaient visiblement pas encore fini de purger les canalisations. Il secoua machinalement la tête de dépit, avant de le regretter amèrement : derrière son front, le duel aérien avait laissé place à des Wookiees déchaînés qui pogotaient, comme en plein concert hardcore.

Il revint dans sa chambre spacieuse pour enfiler une toge royale, mais se figea en regardant son lit, au demeurant assez grand pour accueillir un bantha. Euh…non pas qu’il ait eu une telle idée un jour, non, non, mais c’est juste pour donner une idée de sa taille. Le problème avec son lit, c’est qu’il vit quelqu’un bouger sous les draps. Grâce à un admirable effort de concentration, il se souvint vaguement qu’il n’avait pas passé la nuit seul. Il sourit : ses souvenirs le fuyaient aussi vite qu’un Hutt poursuivi par un inspecteur des impôts, mais lui restait quand même l’impression de s’être bien amusé.
Son teint déjà brouillé prit un tour carrément verdâtre quand il vit un de ses gardes Gamorréens s’extirper lourdement du lit, lui faire un clin d’œil, attraper sa hache et s’en aller en sifflotant. Il se vêtit rapidement en s’efforçant de faire le vide dans son esprit.

Affamé, il s’attabla dans la salle de réception, tandis qu’autour de lui, les droïds serveurs s’ébranlaient pour le servir. Il parcourut rapidement les manchettes de son journal, qui l’attendait comme tous les matins dans son assiette : « Palpatine décore son coiffeur de la médaille du mérite », « Manifestation massives des stormtroopers, ulcérés par la dernière version de leur armure, qui leur compresse les parties », « Photos exclusives : Dark Vador en tongs sur la plage d’une célèbre station balnéaire », etc. Bof, rien de nouveau sous les soleils de Tatooine, se dit Bail en repoussant le canard (coin coin).

Son ventre vide grogna d’envie, tel un sarlacc privé de dessert depuis deux cent ans, quand des œufs bleus de Chandrilla lui furent servis : son déjeuner des champions préféré ! Il en mordit une bouchée gaillardement, et la recracha aussitôt quand des remugles d’égout lui envahirent la bouche. C’était des œufs de poule, mais il eut la sale impression que leur date de péremption était dépassée depuis la mort de Dark Maul.

Dégoûté, il avala cul-sec un grand verre de lait. Du lait ? DU LAIT ? ? Par la Force, il y était allergique ! Il s’étrangla et sa gorge s’épaissit d’un coup d’un seul, lui laissant à peine de quoi respirer. Il tomba à terre et se mit à ramper vers les balcons adjacents, pour prendre de l’air. Sa respiration sifflante lui aurait valu un sacré succès au grand concours annuel d’imitation de Dark Vador.

Il s’adossa piteusement au rebord du balcon et respira profondément. Ouf, ça allait un peu mieux ! Mais pas longtemps. Il éternua violemment, attaqué sournoisement par le pollen printanier : sûrement une nouvelle neurotoxine de l’empire pour le tuer, même si ses biologistes n’arrivaient pas encore réussi à le prouver à ce jour. Au bord du désespoir induit par un tel début de journée, il leva les yeux vers le ciel, cherchant du réconfort dans la vue des merveilles de la nature.

- Oh, une nouvelle lune ! s’extasia-t-il. Mais quand il vit un superlaser en sortir et se diriger droit sur lui, pour le faire périr d’une mort définitive et éternelle dont on ne revient pas parce qu’on quitte à jamais le monde des vivants qui vivent, il eut cette dernière pensée hautement philosophique :

Oh, putain, c’est pas mon jour ! Murphy, je te hais !

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