Je sais que tu me lis et tu sais que je te lis. Je sais qu'il y a des textes qui nous relient. En voilà un, ce soir, que tu connais déjà par cœur. Merci à François Bon.

Alors Jacques Darras se livre au seul exercice qui reste permis : nous lire un fragment de Howl en anglais, et puis prendre ces feuilles dactylographiées avec sa propre version du texte, la traduction interdite. En hommage à Ginsberg, pour relire Howl, mais aussi en hommage à ces ouvreurs de chemins que sont les quelques-uns comme Jacques Darras.