Howl
13 mai 2008
Je sais que tu me lis et tu sais que je te lis. Je sais qu'il y a des textes qui nous relient. En voilà un, ce soir, que tu connais déjà par cœur. Merci à François Bon.
Alors Jacques Darras se livre au seul exercice qui reste permis : nous lire un fragment de Howl en anglais, et puis prendre ces feuilles dactylographiées avec sa propre version du texte, la traduction interdite. En hommage à Ginsberg, pour relire Howl, mais aussi en hommage à ces ouvreurs de chemins que sont les quelques-uns comme Jacques Darras.
Commentaires
Oui, et j'ai toujours ton exemplaire de Howl...
J'ai le mien, et le tien. Quelquefois, je lis l'un, quelquefois l'autre. Et ce n'est pas tout à fait pareil.
Les temps ne sont pas à la fête, tu l'as compris, mais je suis toujours là (et certains jours, c'est une très grande victoire). Merci à toi, pour ces liens maintenus, ces affinités électives, les plus profondes, celles de nos lectures.