Du coup, j’ai dépassé les 10 000 mots, ce qui est très bien.

 

Aujourd’hui en revanche, c’est plus laborieux, et pourtant j’y ai passé des heures, mais c’est normal : copier des sources, c’est bien gentil, mais à un moment il faut rédiger « réellement ». Et bien entendu, l’intégralité des sources copiées n’est pas gardée : certaines font doublon, d’autres ne méritent qu’une version résumée. D’autres encore, plus rares, méritent qu’on s’y attarde. Ça plus de longues recherches sur la généalogie de mes seigneurs de Lanvaudan, la journée n’a guère été productive : à peine 500 mots aujourd’hui. Ceci dit, niveau statistiques, j’en étais resté avant-hier à 481 mots écrits par jour, il fallait en écrire 2 545 par jour pour espérer atteindre les 50 000 à la fin du mois, pour une promesse d’avoir fini le 13 juillet.

 

Là maintenant tout de suite, on m’annonce 672 mots écrits par jour (oui, j’ai bien avancé hier), 2 616 à écrire par jour (là, je régresse !), et on m’annonce la fin pour le 14 juin : youpi, j’ai gagné un mois !