Jour 17

 

 

    Je ne dors pas assez. C’est un fait, mais il ne me dérange pas outre mesure, pour deux raisons : le rythme que j’ai pris n’est que ponctuel et assez limité dans le temps, et je n’ai jamais eu besoin de beaucoup de sommeil, et encore moins besoin de rattraper un éventuel déficit de sommeil. Donc y’a plus qu’à.

 

    Comme prévu, je me suis levé à 6h30 et j’ai assez avancé pour atteindre mon quota quotidien avant même d’aller au taf ce matin, ce qui était très bien. Encore mieux, je viens de remettre ça – je termine à l’instant – pour conclure une longue scène de discussion entamée ce matin, et dont je suis assez satisfait.

 

    Et avec tout ça, ça me fait un total de 2 700 mots aujourd’hui, pour un total de 19 400. Bref, mon retard n’est plus que d’un peu plus de cinq jours, et j’en suis très content : mes efforts portent leurs fruits.

 

Par contre, une évidence se dessine d’ores et déjà : même si j’atteins les 50 000 mots, et je me sens bien parti pour, je vois très mal comment conclure l’histoire d’ici la fin du mois, d’autant plus que je ne sais pas où je vais. Mais bon, on verra bien.  Déjà, finir dans les temps impartis ce sera pas mal. Après… peut-être que j’aurais pris de bonnes habitudes pour écrire régulièrement et que je vais continuer, même si à un rythme moins soutenu, jusqu’à finir le roman ? C’est tout le mal que je me souhaite…