Je n’ai pas retouché au manuscrit depuis que je l’ai terminé, et ne compte pas le reprendre avant… un certain temps. Il y a encore forcément des maladresses de style dedans mais je ne compte me replonger dedans que si un éditeur s’avère intéressé.

En attendant et pour la première fois de ma vie, je suis enfin passé à l’étape suivante, prolongement logique, à savoir protéger l’ouvrage : un exemplaire est donc parti à la Société des Gens de Lettre, et voilà mon texte protégé pour quatre ans.

Ne reste plus qu’à cibler des maisons d’édition que le livre pourrait potentiellement intéresser. L’ami Ethan Iktho m’a proposé de jouer l’intermédiaire vis-à-vis d’une de ses connaissances de chez Place des Éditeurs, et de mon côté il faut que je démarche d’autres maisons. Bien entendu, les plus connues. Si elles refusent, tabler sur des plus petites, puis encore plus petites en cas de nouvel échec, etc. Les buts sont clairs : être publié de manière professionnelle, afin de valider mes acquis de ses dernirèes années ; et connaître les démarches liées à l’édition, car ce n’est qu’un début : je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin.