Fin de la réécriture !

 

 

    Aujourd’hui est un grand jour ! Comme l’indique le titre de ce billet, je suis enfin venu à bout de ma réécriture de Cirederf.

 

    Comme d’habitude, je suis très laborieux pour finir mes histoires, et encore plus quand il s’agit de les peaufiner, à savoir repasser dessus pour avoir un produit fini éventuellement publiable. Mais j’ai réussi !

 

    Cette étape fut longue mais indispensable. Longue en elle-même car il s’agissait de repasser sur 108 000 mots, soit 206 pages word, police 12, format A4. Et longue parce que je ne suis pas doué pour rester très longtemps sur la même activité d’écriture, ce qui est encore et toujours à ce jour l’un de mes deux principaux défauts en écriture, l’autre étant mon style, basique et émaillé de tics d’écriture.

 

    Peu importe pour l’instant, ce n’est qu’en travaillant qu’on affine son style, qu’on en gomme les défauts. À partir du moment où on arrive à les cerner, on a sans doute fait une bonne partie du chemin, et j’ose croire que je m’améliore petit à petit dans ce domaine.

 

    Bref, l’important aujourd’hui est que la réécriture est terminée. J’ai vais donc pouvoir passer à l’étape suivante : protéger mon manuscrit, donc l’imprimer et le déposer contre chèque de 45 euros à la Société des Gens De Lettres. L’imprimante va chauffer aujourd’hui !

 

    Restera alors la dernière étape, qui prendra également quelques bonnes heures : sélectionner les maisons d’édition SFFF susceptibles par leur ligne éditoriale d’être intéressées par le manuscrit, et le leur envoyer.

    Comme il n’est pas question que j’imprime X exemplaires, vu la taille du manuscrit, je ne l’enverrai qu’en pièce jointe aux maisons d’édition pratiquant la soumission via courrier électronique. Ce qui tombe bien, la majorité d’entre elles fonctionne par ce biais.

 

    Je parlais de dernière étape, mais en fait c’est la dernière étape nous concernant directement, mon manuscrit et moi. Parce qu’ensuite il faut attendre les réponses des éditeurs… espérer une approbation… et sûrement repartir pour une nouvelle fournée de corrections selon les remarques qui seront formulées… en attendant une éventuelle édition.

 

    Comme je disais dans mon billet précédent, une chose après l’autre… en essayant de ne pas laisser six mois entre chacune de ces choses^^