Ces deux derniers jours, je n’ai cumulé que 1 100 maigres mots car je suis tout bonnement retombé dans mes limites habituelles. Passé un chapitre Cirederf, j’ai décidé de passer à autre chose car je ne sais pas trop comment vont se boutiquer les derniers chapitres. Du coup, mon feuilleton… Zut, même problème : un chapitre a été conclu et je ne sais pas trop comment écrire le suivant pour coller (ou plutôt recoller) à ma vague trame globale. Donc je suis passé à autre chose, en revenant à ma fantasy spatiale… Zut, je bloque, non pas sur une scène, mais sur une description. Donc je suis passé à… Ah non, pas cette fois-ci !

 

    Parce que d’une part, je suis décidé à avancer coûte que coûte sur ces trois histoires : je veux finir le feuilleton et Cirederf dans les plus brefs délais. Et concernant la fantasy spatiale, je veux conclure le premier acte narratif, celui de la présentation des personnages.

 

    Et d’autre part, j’ai trop l’habitude de ce genre de fuite en avant. Je suis confronté à un problème dans l’élaboration de mon histoire ? Je décrète que c’est un mur, aucune solution ne me vient en trois minutes pour le franchir, alors je pars faire autre chose. Et c’est ainsi qu’on se retrouve avec des dizaines de débuts d’histoire et qu’on ne les conclut que des années plus tard.

 

    Donc objectif du jour : transformer le mur en muret et l’enjamber. Dans les trois cas. Si j’y parviens, je serai un héros (si ! si ! au moins !). Et si ça déclenche un effet boule de neige chez moi, j’aurais la méthodologie pour finir tout ce que j’ai commencé.