Il y a plus d’un an, j’ai pris l’habitude, voire la sale manie quand rien n’avance car là, ça devient frustrant, de noter le nombre de mots que j’écris. Du coup, je suis en mesure d’annoncer qu’en 2016, j’ai écrit un peu plus de 88 000 mots. On a coutume de dire qu’un petit roman fait 50 000 mots, donc on va dire que j’en ai écrit presque deux.

Le problème, c’est que quand on rentre dans le détail, on s’aperçoit que, comme d’habitude, des trucs ont avancé, d’autres ont été commencés, mais rares sont ceux qui ont été finis.

En vrac, j’ai écrit :

- du Cirederf, avec une dizaine de chapitres.

- du Barbatruc, les chroniques d’un futur père avec moi en héros, histoire achevée ! Bon, j’ai pas de mérite, j’avais prévu qu’elle s’arrête à la naissance du gnome.

- du Barbatruc 2, à savoir les chroniques d’un père, le truc qui va poursuivre le gosse toute sa vie.

- un peu d’Escadron Rouille, l’histoire à quatre mains entamée avec l’ami Yorky.

- un peu de fantasy spatiale, mon roman fantasy-SF.

- quelques chapitres d’un feuilleton en 10 chapitres de 3 pages chacun, entamé il y a 3 ans et demi et j’y suis presque, si, si !

- de l’histoire locale de mon bourg, avec deux notices historiques finies et plusieurs autres en cours.

Famélique ? Oui. Après, si on regarde bien, on ne peut pas dire que je me sois trop dispersé, ce qui pourrait être une bonne nouvelle… sauf que je n’ai pas fini grand-chose pour autant. Et donc rien envoyé à l’édition.

La résolution 2017 sera donc : finir des (oui, j’ai bien dit “des”, au pluriel) écrits et les proposer à l’édition. Qu’on se le dise !

Et bonne année, au fait !